Le monde de Monsieur B.

Il y a quelque temps, j'ai terminé le jeu Dragon Quest 8. J'ai passé presque quatre-vingt heures pour faire la quête principale, sans trop m'attarder sur les quêtes secondaires. Mon verdict : l'un des RPG que j'ai le plus apprécié! Certaines personnes n'aiment pas beaucoup les Dragon Quest. C'est entre autres le cas de fans de la série Final Fantasy. Ce qu'ils critiquent d'abord, c'est l'histoire, qui n'est pas terrible selon eux. Effectivement, dans Dragon Quest, il n'y a pas de valeureux héros noble qui veut sauver le monde (ou deux), puis faire en sorte que chaque personne en ce monde soit heureux et qu'une justice infaillible soit établie sur toutes les planètes du système solaire envers toutes les créatures humaines, animales et végétales! Non, nous avons un héros qui ne parle pas, puis trois compagnons qui l'accompagnent : un bandit qui doit sa vie au héros, une magicienne qui veut venger la mort de son frère puis enfin

Il y a quelque temps, je me suis rendu à la fin du jeu Shining Force EXA. Mais à mon grand désespoir, je n’ai pas réussi à battre le boss final! Après une cinquantaine d’heures de jeu, j’ai abandonné! Pourtant, je m’étais bien amusé… J’avais choisi ce jeu parce que j’avais été marqué par les Shining Force pendant mon adolescence. Contrairement aux précédents épisodes de la série, il s’agit ici d’un action RPG et non d’un tactic RPG . En bon français, vous contrôlez un personnage (une magicienne ou un guerrier) et quand vous appuyez sur un bouton, celui-ci frappe ou utilise un sort magique. Deux alliés aident le protagoniste dans son aventure. Jusque là, rien de nouveau pour les connaisseurs du genre. Mais pourtant, dès le début, j’ai trouvé le jeu addictif. Je me suis surpris de jouer une heure sans voir le temps passer! Ce qu’il y a de particulier dans EXA, c’est qu’au cours de l’aventure, on se procure une forteresse et que celle-ci est souvent attaquée par des ennemis. Si pa

Au début de l'année, j’ai terminé Persona 3. J’ai trouvé ce jeu génial! Mon intérêt pour Persona remonte à mon adolescence, quand j’ai joué au premier jeu de la série. C’était un RPG de 140 heures, sorti sur le premier Playstation, que je n’avais jamais pu finir. Ce qui avait attiré mon attention, c’était les personnages sympathiques dans le jeu - des étudiants insouciants qui jouent avec des forces occultes. J’aimais bien qu’une histoire, pour une fois, se passe dans notre monde, à notre époque et dans un espace limité qui n’englobe pas le monde entier! :-) Je trouvais cela original. Quand j’ai vu l’an dernier qu’il y avait un autre Persona, je me suis dit pourquoi pas! Il fallait que j’en passe un de la série, c’était une question d’honneur! Comme la tradition le veut, j’ai essayé le jeu (juste pour voir) en arrivant du magasin. Et devinez quoi? Je n’ai pas été capable de décrocher! L’introduction, une longue scène digne d’un dessin animé japonais lugubre, m’a tout de suite capti